Octobre 2024
La taxe foncière payée par les Dijonnais a encore augmenté cette année, alors que la ville aurait eu la capacité de baisser son taux. Le prix de l’eau a augmenté de 11,7% en deux ans. Les tarifs de la restauration scolaire ont augmenté pour 56% des familles en 2023. Ils restent calculés en fonction d’un « taux d’effort » qui pénalise les classes moyennes. A venir : une hausse du prix du ticket de tram-bus annoncée par le Maire. Ces augmentations, mises bout à bout, mettent les Dijonnais en difficulté. Les collectivités locales peuvent (et doivent) protéger notre pouvoir d’achat. La Ville de Dijon peut (et doit) participer à cet effort. Pour cela, elle doit mieux maitriser ses dépenses : chaque euro dépensé doit être vraiment utile aux Dijonnais.
Septembre 2024
Nous vous souhaitons une bonne rentrée ! Au Conseil municipal, elle s’effectue dans la confusion : des adjoints se sont présentés les uns contre les autres aux élections législatives ; l’adjoint « historique » à l’urbanisme a des mots très durs contre « son » Maire ; Maire dont on ne sait plus à quel parti il appartient… Ce flou et ces tensions entraînent un mauvais climat, qui pèse sur les services et perturbe le fonctionnement de la Ville. Pour notre part, nous continuons à vous défendre. Nous voulons une ville plus sûre ; une ville qui soutienne les classes moyennes ; une ville mieux gérée, y compris pour la propreté, la voirie, les espaces verts. Il y a beaucoup à faire ! Pour cela, faites confiance aux élus fidèles à leurs convictions.
Juillet – Août 2024
Cet été, de nombreux Dijonnais vont profiter des parcs de notre ville, notamment ceux qui ne partiront pas en vacances. Ces espaces verts sont à la fois des espaces de calme, de jeux pour les enfants, mais également des lieux de fraîcheur en cas de canicule. Si les services municipaux font de leur mieux, nous regrettons une dégradation progressive de la qualité des espaces verts en général. La libre biodiversité et le réchauffement climatique ne peuvent pas être les prétextes faciles à de mauvais choix politiques et budgétaires. L’action municipale, ce sont certes de grands projets mobilisateurs, mais c’est surtout la gestion du quotidien et de l’environnement des habitants. Comptez sur nous pour nous engager dans ce quotidien !
Juin 2024
La crise du logement s’accélère. La file d’attente du logement social s’allonge, les expulsions locatives augmentent et des milliers de personnes sont laissées à la rue, bien souvent des femmes avec enfants. Loin d’apporter des solutions garantes de l’accès à un logement digne, la réponse du gouvernement est honteuse. Avec le projet de loi Kasbarian, la pauvreté et le mal logement sont criminalisés, les expulsions facilitées, notamment pour les personnes qui se mettent à l’abri dans des logements et des bureaux vides. De plus, le risque de perdre son logement social, avec la création d’un plafond de revenu, est réel. Cette disposition fragilise des situations déjà précaires. Pour garantir le droit au logement, des mesures contre les fléaux de la pauvreté s’imposent : plan massif de rénovation énergétique, mise à disposition du logement vacant facilitée, notamment pour créer des hébergements d’urgence. C’est la condition pour lutter contre les injustices sociales et environnementales.
Mai 2024
C’est avec enthousiasme que Dijon accueillera le Tour de France le 4 Juillet, puis la flamme olympique le 12 Juillet. Notre groupe a voté pour l’accueil de ces deux évènements populaires, qui dépassent les clivages politiques et nous rassemblent. Évidemment, ils n’ont de sens que si tout le reste de l’année les Dijonnais peuvent pratiquer leur sport. Or, 20 ans de parti pris pour le foot professionnel ont engendré beaucoup de retard dans les investissements nécessaires. Nouvelle patinoire, réhabilitation des salles du Palais des Sports, lieu dédié au handball, équipements de quartier… Il y a une stratégie globale à bâtir, qui dépasse le choix coûteux (10,1M€) et très personnel de la base nautique pour le canoé-kayak…
Avril 2024
Le CHU de Dijon (que nous nous plaisons à continuer à appeler « Le Bocage ») tout comme le Centre George-François Leclerc sont des établissements de grande qualité, qui participent à l’attractivité de notre métropole. Mais, les conditions de stationnement pour s’y rendre sont détestables. Le parking est cher, et régulièrement saturé. Les abords sont encombrés. Les solutions pour les personnels ne sont pas pratiques. La situation devrait encore se compliquer avec l’ouverture à proximité du plus grand centre de dialyse de la région. Nous voulons donc que le projet de construction d’un nouveau parking silo sur le site, qui a été avancé de façon floue l’an dernier, soit confirmé, précisé, accéléré, et soutenu avec vigueur par la Ville de Dijon.
Mars 2024
Il y a 20 ans, Dijon comptait 4 EHPAD municipaux. Désormais, elle n’en compte plus que 2, alors que les besoins n’ont jamais été aussi grands. Après des années de manque d’entretien, les foyers des Marguerites et du Port du Canal ont fermé. Les personnes âgées qui y résidaient ont été transférées dans un immeuble de l’ancien site Terrot, dans un quartier en construction, sans verdure, sans stationnement pour les familles. Les chambres y sont plus petites. Les loyers ont été revus en forte hausse. Si le personnel fait ce qu’il peut, les décisions prises par la municipalité ont été brutales. Nous aurions agi différemment. Nous privilégions des établissements « à taille humaine », qui maillent les quartiers et donnent la priorité aux seniors.
Février 2024
Alors que dans toutes les villes de France, c’est le Maire, seul légitime, qui le fait, à Dijon, la 1ère adjointe PS anime depuis plusieurs semaines, avec les moyens municipaux, une série de réunions publiques. L’initiative sent bon la « tournée pré-électorale ». L’annonce (positive au demeurant) de la transformation d’un parking en petit square au centre-ville ne compensera ni la privatisation du parc de l’Hôtel Bouchu dit d’Esterno, ni les dizaines de jardins détruits depuis des années par les constructions intensives dans nos quartiers. À nos yeux, la 1ère adjointe devrait se concentrer sur les dossiers dont elle a la charge, à commencer par la sécurité, car la situation à Dijon est préoccupante et mérite une mobilisation totale.
Janvier 2024
Nous vous présentons nos meilleurs vœux pour l’année 2024. Avec vous, nous formulons le souhait que Dijon soit une ville toujours plus belle, plus dynamique, plus unie. Les propositions que nous formulons en Conseil municipal vont dans ce sens, car l’intérêt général de notre ville et de ses habitants doit toujours primer. Alors que la 1ère adjointe se disperse dans une communication immodérée, nous faisons le choix du travail et de la persévérance, au service de tous. Nous continuons à plaider pour une ville plus mobilisée pour la sécurité de ses habitants ; qui repense sa politique de construction intensive pour laisser plus d’espaces à la verdure ; qui soutienne toujours plus les acteurs économiques et l’emploi ; qui soit plus mobilisée dans le quotidien (propreté, entretien de la voirie, espaces verts…). Nous soutenons les classes moyennes, grandes oubliées des politiques municipales, en souhaitant notamment qu’elles ne soient pas toujours les seules à payer « plein pot » les impôts et les services municipaux. Fidèles à nos valeurs et aux engagements pris devant les électeurs, vous pouvez compter sur nous pour vous défendre. N’hésitez pas à nous contacter. Belle et heureuse
année.
Décembre 2023
L’actualité internationale est grave. Relayant l’initiative nationale portée par le Président du Sénat et la Présidente de l’Assemblée Nationale, un rassemblement contre l’antisémitisme a été organisé place de la République à Dijon. Tous les élus du Conseil municipal auraient dû y être présents. Certaines absences sont regrettables. À grands tambours de communication, la 1ère adjointe (PS) au Maire de Dijon a présenté un projet d’aménagement de la place du 30 octobre. Nous confirmons le besoin d’une transformation pour sécuriser les différents usagers, en particulier les cyclistes. Elle mérite d’être embellie ; la plantation d’arbres est positive. Nous alertons néanmoins sur la capacité d’absorber le flux automobile et de garantir l’accès aux commerces, et regrettons l’absence de connexion à des pistes cyclables sur les boulevards tout comme la suppression superflue de stationnements. Dijon accueillera l’élection de Miss France en décembre. Nous ne partageons pas les critiques des élus EELV, et pensons qu’il s’agit d’un spectacle populaire qui permet de faire parler de Dijon. Nous regrettons seulement le prix élevé des places (80 euros).
Novembre 2023
Le Maire a lancé deux projets que nous appelions de nos vœux : l’embellissement du Port du Canal et le réaménagement de la rue Monge. On trouve dans ce qui a été présenté des idées intéressantes, par exemple la plantation d’arbres. Compte-tenu des sommes engagées (5,3 millions pour la rue Monge et 9 millions pour le Port du Canal), ce sera forcément plus joli après qu’avant. Nous regrettons toutefois que le réaménagement de la rue Monge ne soit pas global et se limite à trois parties de rue. Par ailleurs, pourquoi encore choisir ce béton bouchardé qui n’est pas le plus esthétique ? S’agissant du Port du Canal : il est déjà un poumon vert de notre ville. Son embellissement est le bienvenu, mais il est tiré par les cheveux de parler de « création d’un parc urbain ». Nous espérons que le marché du mercredi et la Fête du Port du Canal seront conservés.
Dans le même quartier, nous demandons que soit abandonnée la vélorue de l’avenue Jean Jaurès, trop accidentogène. Elle est un échec de la municipalité. Il est temps de séparer les voies dédiées aux voitures, aux vélos et aux piétons, pour la bonne sécurité de tous. Fidèles à notre ville et à nos convictions, nous continuons à vous servir avec persévérance.
Octobre 2023
Le nouveau réseau Divia, imposé fin août, présente d’évidentes imperfections. D’abord,
l’augmentation forte du prix de « l’open payment » (paiement par carte bancaire directement dans le tram) est incompréhensible. Ensuite, plusieurs quartiers ont perdu leur ligne de bus pour un transport à la demande à certaines heures. Enfin, une partie du réseau a été désorganisée pour faire de la Cité de la Gastronomie un point de passage obligé. Tout cela ne va pas dans le bon sens. Pour encourager les Dijonnais à emprunter les transports en commun, mieux vaut suivre leurs besoins plutôt qu’essayer de les formater. Plus largement, la politique de déplacements est très perfectible.
Il ne faut pas vouloir à tout prix éliminer la voiture, mais rechercher le point d’équilibre entre les transports. Nous demandons l’abandon de la voiture LAPI, qui contrôle automatiquement le stationnement, ainsi que la mise en place d’un tarif réduit de stationnement pour les professionnels.
Nous souhaitons l’accélération de l’aménagement d’un réseau de pistes cyclables vraiment sécurisées.
Nous attendons un « plan piétons » pour faciliter la marche à pied, avec des mesures concrètes pour les protéger contre les trottinettes.
Septembre 2023
Nous vous souhaitons à tous une bonne rentrée, en particulier aux petits Dijonnais qui reprennent le chemin de l’école. Comme vous le savez, la Ville a la responsabilité des 76 écoles publiques. Au Conseil municipal, nous agissons pour que les investissements nécessaires y soient réalisés. Il est urgent de supprimer les préfabriqués, de prévenir les canicules qui sont insupportables aux petits comme aux équipes pédagogiques, et de sécuriser les abords des établissements. Nous voulons aussi des tarifs de restauration scolaire et d’accueils périscolaires plus raisonnables pour les classes moyennes. Nous souhaitons l’organisation d’actions de prévention contre les risques des réseaux sociaux et d’une trop grande exposition aux écrans. La rentrée, c’est aussi la rentrée politique. Nous continuons à vous défendre tant sur le terrain, dans nos quartiers, qu’au Conseil municipal. Élus en 2020 sur une liste voulant une alternative à la majorité PS actuelle, nous poursuivons notre travail d’opposition, claire et constructive, de droite et du centre. C’est le mandat que vous nous avez confié. Tournés vers l’avenir, nous serons fiers de formuler des propositions au service de notre ville.
Juillet-août 2023
Depuis le début de l’année, les parents ont pu constater une forte augmentation de leur facture pour la restauration scolaire et l’accueil périscolaire de leurs enfants. Sachez que nous nous étions vivement opposés à cette hausse des tarifs voulue par la majorité municipale, d’autant qu’après un calcul alambiqué, elle touche plus fortement les classes moyennes.
D’une façon générale, la Ville de Dijon doit changer de braquet : elle doit faciliter davantage la vie des personnes qui travaillent, et qui font la vitalité de notre métropole.
Pour le Maire et sa 1ère adjointe, les problèmes s’accumulent. Ainsi, le DFCO relégué en National, la Ville se retrouve avec un stade de 19 000 places sur les bras. Les aménagements faits sur le rond-point d’Ahuy permettent un léger mieux mais sont très loin de résorber les embouteillages sur la LINO. L’insécurité continue d’inquiéter. Les causes en sont multiples, mais la politique d’urbanisme et de construction massive n’y est pas étrangère.
Pendant ce temps, faisant fi des grincements de dents internes, la 1ère adjointe se concentre sur sa propre communication : La voici visitant un salon pour séniors ; la voici animant une réunion sur les écoles ; la voici inaugurant pour la 2e fois le même parc. Elle devient finalement « 1ère adjointe à tout ». Elle devra donc rendre des comptes… sur tout !
Juin 2023
La Cité de la gastronomie a soufflé sa première bougie. Maintenant qu’elle est là, il faut en faire un succès. Nous reconnaissons volontiers ce qui fonctionne déjà bien, comme La Cave de la Cité. Nous avions regretté que les tarifs du cinéma soient trop élevés. Ils ont été abaissés. L’équipement, flambant neuf, gagne à être connu. En revanche, le pôle « culturel », c’est-à-dire la partie « musée », laisse les visiteurs sur leur faim. Il faut reconnaître que n’obtenir qu’une seule étoile au Guide Vert n’est pas à la hauteur des ambitions. Les expositions doivent prendre de l’envergure. Le « village » évolue progressivement vers un « food court à la Dijonnaise ». S’il pouvait être tous les soirs aussi vivant que lors du week-end anniversaire, le pari serait gagné. Pour cela, il faudrait l’ouvrir sur la ville, résoudre les problèmes de chaleur et d’aération dans les allées. N’oublions pas la partie « immobilière » de la Cité ! Nous demandons l’abandon de la construction d’immeubles, et proposons l’aménagement d’un parc le long de l’Ouche. Enfin, curieusement nous voyons peu Mme Koenders parler de la Cité. Nous avons pourtant droit à la 1ère adjointe PS à toutes les sauces dans la communication municipale. Mme Koenders à vélo, Mme Koenders au musée, Mme Koenders inaugurant deux fois de suite le même jardin, … Ne nous coupez pas trop vite l’appétit !
Mai 2023
Nous nous sommes prononcés pour la levée des restrictions à l’encontre des bars à ambiance musicale du quartier République. Dans une ville universitaire de 40.000 étudiants, on ne peut pas anesthésier la vie nocturne. Est-ce en fermant les bars qu’on va résoudre les problèmes d’insécurité à Dijon ? À l’évidence, non. Le mal dont souffre notre ville est plus profond. Dijon est confrontée à la montée de l’insécurité. Tout le monde a en tête la guérilla « tchétchène » du printemps 2020. Ces derniers jours, la ville est systématiquement mentionnée par les médias nationaux comme théâtre de violences par des casseurs. Plutôt que de s’en prendre aux étudiants qui veulent profiter des beaux jours, n’est-il pas temps de s’attaquer aux vrais coupables ? L’État a la charge de la sécurité publique, et les annonces de Gerald Darmanin vont dans le bon sens. Mais, à ses côtés, le Maire de Dijon devrait se sentir concerné. Sa 1ère adjointe, en charge justement de la tranquillité publique, au lieu de passer sa vie à « communiquer », devrait agir. En effet, il est grand temps que la Ville consacre plus de moyens à la sécurité, en pensant global (l’urbanisme, l’organisation des transports participent à la sécurité) et surtout en renforçant sans pudeur sa police municipale et ses moyens (vidéoprotection, armement…).
Avril 2023
Lors du dernier conseil municipal, notre groupe a confirmé son opposition déterminée et constructive au Maire. Le dossier du Parc des Expositions a encore occupé les débats. Une gestion déléguée à une association constituée de chefs d’entreprises locaux donnait satisfaction. Pour sortir de l’imbroglio juridique dans lequel il s’est lui-même enfermé, le Maire a créé une Société Publique Locale, par définition 100% publique. Gérer un équipement comme celui-là est un métier. La nouvelle société devra donc trouver les compétences pour s’en sortir. Lors de ce même conseil municipal, nous avons regretté la fusion des écoles maternelles des Marmuzots et Victor Hugo, car il est préférable d’avoir des établissements à taille humaine. Nous craignons aussi un énième programme immobilier sur le terrain libéré. À propos des enfants, la démarche « Génération Dijon», lancée à grands renforts de communication, est « la montagne qui accouche d’une souris ». Nous aurions préféré qu’elle aboutisse à des actions concrètes. Notre équipe a aussi fait des propositions pour que le passage de la flamme olympique au printemps 2024 soit une grande fête populaire et permette la promotion du sport dans la ville. Elle a salué l’organisation du festival VYV cet été, en souhaitant des mesures pour protéger le site de la Combe à la Serpent. Enfin, elle a demandé que les Dijonnais ne soient pas privés de l’Hôtel d’Esterno, mis à la disposition de l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin pendant 50 ans, et qu’il soit régulièrement ouvert aux visites.
Mars 2023
Dijon doit être une ville ouverte à tous. Or, plus de la moitié des foyers dijonnais ne comptent qu’une seule personne. De plus en plus de familles font le choix de quitter la ville pour aller s’installer en périphérie. La cause de ces départs ? Un quotidien devenu compliqué, en particulier avec des enfants à la maison. Trouver un logement avec un jardin ou des espaces verts à proximité est de plus en plus rare en raison du « bétonnage » de nos quartiers. Se déplacer en voiture est devenu trop cher et trop compliqué, a fortiori avec l’extension des zones payantes et l’insuffisance de stationnement prévu dans les nouvelles copropriétés. Le manque de propreté saute aux yeux dans plusieurs quartiers résidentiels. Les faits répétés d’insécurité inquiètent, notamment les parents d’adolescents et de jeunes adultes. Hélas, des décisions de la majorité municipale de gauche accentuent cette défiance envers les familles. Par exemple, la récente augmentation des tarifs des restaurants scolaires, des activités périscolaires et extrascolaires, calculés selon un trop complexe « taux d’effort », aboutit à faire payer très cher les classes moyennes. Il faut rééquilibrer les choses. La vision que nous portons est celle d’une ville accueillante pour tous (familles, séniors, parents solos, …) qui « facilite la vie » des Dijonnais, et les accompagne (vraiment !) dans leur quotidien.
Février 2023
Comme les autres métropoles de France, Dijon doit se doter d’une Zone à faibles émissions (ZFE) d’ici le 1er Janvier 2025. C’est une obligation légale, bien que la qualité de l’air dans notre agglomération soit plutôt satisfaisante. Dans une ZFE, les véhicules les plus polluants (identifiés par les vignettes Crit’Air 5, 4 et 3) ne pourront plus circuler. Le Maire n’a pas encore donné d’informations à ce sujet. Le périmètre, le calendrier et les modalités envisagés à Dijon ne sont pas connus malgré l’approche du basculement. De nombreux professionnels (artisans, entreprises utilisant des engins, déménageurs…) espèrent des dérogations et n’ont aucune réponse à leurs questions. Nous sommes réservés sur les ZFE. Il y a bien d’autres façons d’agir pour la qualité de l’air et la santé. Avec les ZFE, les plus modestes, qui n’ont pas les moyens de changer de voiture, ne pourront plus aller et venir librement à Dijon, ce qui aura des conséquences négatives pour tous (accès aux commerces, aux grands équipements, à l’hôpital…). En outre, il faut souligner qu’une ZFE entrainera des coûts importants pour le budget de la Métropole (achat de portiques…) et donc pour les contribuables. Nous voulons donc y voir clair sur la façon dont Dijon va s’organiser. Pour notre part, nous souhaitons que la future ZFE soit souple, que des dérogations utiles soient mises en place, afin qu’elle ne devienne pas une « Zone à forte exclusion ».
Janvier 2023
Mesdames, Messieurs, À l’aube de cette nouvelle année, nous vous présentons des voeux très chaleureux. Nous formulons aussi des voeux collectifs pour Dijon, notre ville, que nous aimons tant, et pour laquelle nous voulons le meilleur. Élus de l’opposition, nous sommes amenés à critiquer certains choix du Maire. Nous le faisons de manière argumentée et constructive, pour créer le débat, ce qui n’est pas toujours évident tant il peine à supporter la contradiction. Par exemple, nous nous opposons à l’augmentation des tarifs de stationnement ainsi qu’au passage de 1 273 places supplémentaires au statut payant. Face à cela, nous avons formulé 3 propositions :
- Annuler l’augmentation injustifiée des tarifs du 1er octobre dernier.
- Mettre en place un tarif « professionnels » à bas prix pour les actifs (commerçants, artisans, salariés…).
- Instaurer la 1ère heure de stationnement gratuite, pour soutenir le centre-ville face aux pôles commerciaux périphériques.
Il y a beaucoup à dire sur les déplacements ! La refonte annoncée du réseau Divia va pénaliser des quartiers résidentiels. L’idée d’une voie réservée au covoiturage sur la rocade est une hérésie. La circulation des trottinettes doit d’urgence être organisée pour protéger les piétons. Le réseau cyclable manque toujours de cohérence… Vous le voyez, dès les premiers jours de 2023, nous sommes mobilisés à votre service. Nous le demeurerons pour que Dijon soit toujours plus belle, solidaire et attractive !
Décembre 2022
Notre groupe porte une vision globale et cohérente sur l’ensemble des sujets municipaux. Nous sommes pleinement mobilisés pour la sécurité. Nous avons porté le vœu d’une présence accrue de la Police nationale en soirée et la nuit place de la République, qui semble avoir été entendu par le nouveau Préfet. Il y a malheureusement encore de nombreux points de la ville à « reprendre » aux délinquants. Alors que les zones de stationnement payant s’étendront encore le 1er janvier, nous proposons la mise en place d’un abonnement à tarif préférentiel pour les actifs qui travaillent dans les rues concernées (commerçants, artisans, salariés, agents publics…) sans quoi ceux-ci devront payer chaque mois des sommes déraisonnables. Par ailleurs, nous prônons un urbanisme moins agressif, où « construction » rime avec « respiration ». La transition écologique suppose de laisser plus de place à la nature dans les quartiers. Nous sommes aussi attentifs à la démarche « Génération Dijon ». Elle révèle les attentes très fortes des parents d’enfants et adolescents : Il y a encore des progrès à faire pour faciliter la vie des familles ! Enfin, alors que les contribuables ont reçu leurs avis de taxe foncière et ont pu constater l’augmentation inacceptable et injustifiée du taux de la métropole (+130 %), nous rappelons qu’une meilleure gestion permettrait la sobriété fiscale.
Novembre 2022
Les faits d’insécurité se multiplient à Dijon. Ne pas en parler, c’est laisser dans le désarroi les victimes. Chaque semaine, la presse relate des agressions, rodéos urbains, cambriolages… Les trafics de drogue aux Grésilles ont fait la « une » d’un grand journal national, qui a osé la comparaison avec Marseille. Triste image pour notre ville. Le Maire est en partie responsable. Sa 1ère adjointe, mise en avant de façon exorbitante par la communication institutionnelle, est justement chargée des questions de sécurité. Le mauvais bilan de la Ville dans ce domaine, c’est le leur. Lors du conseil municipal, après le passage à tabac de deux étudiants, nous avons déposé un voeu demandant la présence renforcée de la Police Nationale place de la République. La majorité a tout bonnement refusé de le mettre aux voix. Révélateur ! Si Dijon peine à recruter des policiers municipaux, c’est parce que les jeunes qui sortent de l’école préfèrent rejoindre des villes où ils seront bien rémunérés, bien équipés, armés à toute heure de la journée. Nous pensons aussi que l’urbanisme doit être repensé, pour éviter les quartiers trop denses, fermés sur eux-mêmes, qui sont des foyers potentiels d’insécurité. Par des propositions claires, nous nous engageons pour que Dijon redevienne une ville sûre, partout et pour tous.
Octobre 2022
Après une période où les débats les plus médiatisés ont été nationaux, il est bon que les problématiques locales reprennent une place importante. Dijon le mérite ! Dans cette perspective, notre groupe municipal a fait sa rentrée dans un esprit nouveau. Il a changé de nom pour devenir « Dijon Autrement ». Son objectif est de mener un travail d’opposition franc mais constructif à la majorité de gauche qui s’essouffle. Il entend être « agitateur d’idées » et porteur d’avenir pour Dijon. Ses membres partagent les valeurs de la droite et du centre. Sur cette base claire, chacun d’eux demeure libre de ses engagements. Nous respectons les sensibilités, et nous inscrivons dans une dynamique de large rassemblement. Sur le fond, nous nous opposons à l’urbanisme agressif imposé par François Rebsamen. Il est possible de construire autrement, avec moins de béton, plus de respiration, plus de verdure et aussi plus d’espaces de proximité dédiés à la culture et au sport. De même, nous constatons avec inquiétude la dégradation de la sécurité. L’agression au collège Malraux, les violences répétées place de la République, la multiplication des cambriolages à Montchapet, hélas, le confirment. Les élus doivent refuser la fatalité, et s’engager sans faiblir contre l’insécurité. Nous défendons une plus grande implication de la ville dans ses missions du quotidien. L’entretien des voieries, l’enfouissement des réseaux, et la propreté sont autant de sujets auxquels elle devrait s’atteler davantage. Les Dijonnais peuvent compter sur notre engagement sérieux et fidèle à leurs côtés.
Septembre 2022
Nous vous souhaitons à tous une belle rentrée. Nous pensons bien sûr aux enfants des écoles. Nous continuons à défendre la modernisation des établissements : suppression des préfabriqués, sécurisation des abords, installation de la climatisation dans au moins une salle par site, etc. À l’heure du bilan de l’été, nous nous inquiétons des premiers retours de la Cité de la gastronomie. Le manque de fréquentation est manifeste. Réagissons ! Mettons-nous vite autour de la table, pour corriger ce qui peut l’être et faire réussir ensemble ce projet. Toujours à propos de l’identité gastronomique de Dijon, si nous nous réjouissons de l’arrivée de l’Organisation internationale de la vigne et du vin, nous regrettons la privatisation à son attention de la salle des actes de l’Hôtel de Grandmont (ancien Rectorat), qui aurait dû rester un lieu d’expositions piloté par la ville. Surtout, nous regrettons la fermeture du square de la rue Brulard, espace de fraicheur dans un centre-ville qui en compte peu. Enfin, nous nous opposons à la forte augmentation des prix du stationnement, en surface comme dans les parkings. C’est un coup porté au pouvoir d’achat des Dijonnais. Il intervient au mauvais moment, alors que l’inflation les pénalise déjà. Nous défendons une autre vision de la ville, où l’on facilite la vie des Dijonnais plutôt que de la contraindre, où l’on fait venir des familles plutôt que de les repousser en zones périphériques. Dijon sera toujours plus accueillante, dynamique et rayonnante, si elle rassemble tous ses habitants.
Juillet-Août 2022
Dijon doit mieux s’adapter à la multiplication des canicules et au changement climatique. Certes, la municipalité a installé 12 brumisateurs dans des parcs. Elle reprend ainsi un projet de bon sens de l’opposition municipale présenté en juillet 2019… qu’elle avait raillé à l’époque. Il faut aller beaucoup plus loin ! Ainsi, nous proposons l’installation d’un climatisateur dans au moins une salle de chaque école (salle commune, restaurant scolaire) pour protéger facilement les enfants en cas de très forte chaleur. Nous souhaitons que soit étudié l’aménagement d’un réseau de fraicheur urbain. Équivalent du réseau de chaleur, il achemine de l’eau glacée, amenant de la fraicheur aux équipements et immeubles qui lui sont connectés. Il faut enfin changer radicalement la politique d’urbanisme. Les revêtements de sol doivent être repensés car ils emmagasinent la chaleur. Les immeubles qui sont construits doivent l’être de façon moins dense, pour laisser plus d’espaces à la nature, à l’eau et à la verdure. Enfin, les constructions à énergie positive ne doivent plus être des exceptions, ce qui suppose un urbanisme moins quantitatif et plus qualitatif. Alors que les élus EELV se fourvoient lamentablement dans une alliance de gauche extrême, ne leur laissons pas le monopole de l’écologie. Parce qu’ils sont plus raisonnables, confiants en la science,
Juin 2022
Nous aimons Dijon et nous voulons le meilleur pour elle. Nous appelons de nos vœux une ville dynamique sur le plan économique, qui attire de nouvelles entreprises et favorise la création d’emplois durables. À cet égard, nous attendons beaucoup de la nouvelle agence d’attractivité « Dijon Bourgogne Invest » dont l’efficacité devra être à la hauteur des moyens importants qui lui sont dévolus.
Une des premières missions d’une ville, c’est la construction et l’entretien des écoles publiques. Dijon en compte 78. Il appartient à la municipalité d’offrir les meilleures conditions de travail possibles aux élèves, avec des bâtiments à taille humaine, rénovés, excluant enfin les préfabriqués. Dans le domaine de l’urbanisme, nous pensons que Dijon fait de mauvais choix. Nous ne sommes pas opposés par principe à la construction. Nous critiquons la densification brutale qui est imposée avec des immeubles trop nombreux, trop hauts, pas toujours beaux. Enfin, même si la sécurité relève d’abord de l’État et qu’il serait déraisonnable de faire porter au Maire la responsabilité du moindre fait divers, nous pensons que la Ville pourrait agir mieux, en se dotant d’une police municipale plus nombreuse et armée à toute heure de la journée. La création d’une police intercommunale des transports, qui avait fait consensus lors des dernières élections municipales, doit être enclenchée. Alors que les élections nationales concentrent l’attention, soyez assurés que nous poursuivons avec rigueur notre travail d’élus municipaux.
Mai 2022
La Cité de la gastronomie et du vin ouvrira ses portes le 6 Mai. Nous souhaitons le succès de ce nouvel équipement qui doit contribuer au rayonnement de notre ville. Nous espérons sincèrement que le million de visiteurs attendu chaque année sera atteint et cela, sur la durée. Nous espérons que les touristes seront au rendez-vous malgré la concurrence rude de la Cité des Vins de Beaune. Nous espérons que les établissements pilotés par le chef étoilé Éric Pras et les commerces alimentaires haut de gamme réussiront à cohabiter avec un cinéma « grand public » et l’offre de restauration urbaine qui y est généralement accolée. Nous n’aurions pas adopté la même stratégie pour ce site. Néanmoins, nous souhaitons sa réussite. Nous portons des propositions, par exemple le nécessaire traitement de la rue Monge, qui sera le trait d’union entre la Cité de la Gastronomie et le centre-ville.
Nous regrettons les excès du programme immobilier de l’avenue de l’Ouche. Un quartier agréable et verdoyant aurait pu être aménagé, avec un nombre raisonnable de logements. Hélas, sont sortis de terre des immeubles trop hauts, trop proches les uns des autres. Nous continuons à souhaiter l’abandon de la deuxième phase du programme de construction qui se situe le long de la rivière, au profit d’une promenade ouverte au public. Nous proposons un parc d’environ trois hectares, qui dévoilerait la façade ouest de l’ancien hôpital général, valoriserait l’Ouche et préfigurerait un embellissement du quartier « Port du Canal ».
Avril 2022
À l’heure où nous écrivons ce texte, la guerre fait rage en Ukraine. Nous tenons à exprimer notre solidarité au peuple ukrainien. Nous soutenons les nombreuses initiatives prises à Dijon et dans toute la France pour lui venir en aide. Malgré cette terrible actualité, la vie municipale continue. L’intense densification de la ville se poursuit, mettant à mal l’identité de nos quartiers. À la Motte Giron, rue de la Fontaine au Cayen, un bailleur social va construire deux immeubles dans une ancienne carrière préservée. Rue de Larrey, ce sont un verger et un terrain dédié au petit maraichage qui vont être détruits.
Deux exemples parmi de nombreux autres qui montrent la contradiction entre le discours affiché par le Maire sur la nature en ville et la réalité de sa politique. D’autre part, nous nous inquiétons du projet d’explosion de la taxe foncière à la métropole (+131 %). Dans le contexte économique actuel, ce serait une grave erreur qui porterait atteinte au pouvoir d’achat des Dijonnais. C’est d’ailleurs bien pour préserver ce pouvoir d’achat que nous avons déposé un voeu au conseil municipal pour que la première heure de stationnement à Dijon devienne gratuite. Cette mesure simple contribuerait aussi à améliorer l’attractivité du centre-ville. Nous avons une conviction : d’autres choix sont possibles à Dijon. Le modèle d’une ville toujours plus peuplée, toujours plus bétonnée, toujours plus crispée ne nous fait pas rêver. La ville idéale, c’est une ville où il fait bon vivre, « à taille humaine », où chacun est respecté.
Mars 2022
Le rapport de la commission d’enquête publique sur la première modification du PLUI-HD valide les vives inquiétudes que nous exprimons lors des conseils municipaux sur la politique d’urbanisme du Maire. Elle relaie les multiples témoignages d’habitants, de collectifs et d’associations, aux profils très divers, qui s’inquiètent de la prolifération de constructions massives dans nos quartiers.
Dans ses conclusions, la commission met en garde (sic) : « La production de logements doit être adaptée au juste besoin et ne doit pas conduire à saturer certaines zones au détriment de la qualité de vie des habitants. » Cette première révision du PLUI est en effet critiquable. Elle augmente le nombre de nouvelles constructions voulues entre 2020 et 2030 tant à Dijon que dans la Métropole. Elle ne supprime toujours pas la 2ème tranche du quartier des Maraîchers que le Maire s’était pourtant engagé à passer en terres maraichères. Elle tire un vrai signal d’alarme sur l’explosion des nouveaux logements boulevard Voltaire.
La procédure de « modification » du PLUI est insuffisante. Nous appelons de nos vœux une procédure de « révision », juridiquement différente, qui permettrait de changer les orientations générales, de renoncer à certains projets démesurés, de projeter de nouveaux parcs urbains et des zones laissées à la nature. Il faut que l’outil du PLUI permette de rompre avec l’urbanisme gris et agressif, pour aller vers des constructions de qualité, à taille humaine, où il fait bon vivre.
Février 2022
Lors du Conseil municipal, nous avons déposé un vœu pour bannir l’écriture inclusive des actes, courriers, délibérations et offres d’emplois de la Ville de Dijon. L’écriture inclusive, c’est cette lubie qui consiste à utiliser un point médian pour faire apparaitre simultanément les formes féminines et masculines d’un mot. Par exemple : « Les citoyen-ne-s dijonnais-e-s ». C’est l’usage du pronom « iel », contraction de « il » et « elle » pour évoquer une personne quel que soit son genre. Hélas, la majorité municipale a balayé notre vœu.
Édouard Philippe, alors Premier Ministre, avait demandé à ses Ministres de proscrire l’écriture inclusive. Pourtant, c’est toute la majorité municipale, y compris les élus LREM et MODEM, qui a voté contre notre vœu. Une adjointe a même expliqué qu’il faut (sic) « pratiquer une démasculinisation des mots et du langage dans le sens où le masculin a pris une place dingue ». Pour notre part, nous combattons sans ambiguïté l’écriture inclusive. Elle fait obstacle à la lecture et à la compréhension de l’écrit. Elle crée une barrière supplémentaire pour les personnes souffrant de certains handicaps (non-voyants utilisant des synthèses vocales, dyslexiques…). La prise de position idéologique de la municipalité n’est pas anodine. Elle est contreproductive pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle appelle une grande vigilance contre une potentielle dérive wokiste. C’est sûr de nos valeurs, guidés par le bon sens, que nous continuerons à vous servir.
Janvier 2022
À l’aube de l’année 2022, nous vous présentons nos vœux les plus chaleureux.
Premier groupe de l’opposition municipale, nous sommes à votre écoute. N’hésitez jamais à nous contacter. Nous travaillons en équipe pour contrôler l’action de la municipalité de gauche, critiquer ce qui doit l’être, faire des propositions, défendre une autre vision de Dijon et de sa métropole. Nous portons une attention particulière aux plus petits. F. Rebsamen restera comme le Maire qui a fermé des écoles : fermeture de l’école Baudelaire en 2015, fermeture des Hauts-de-Montchapet en 2018 et, aujourd’hui, regrettable volonté de fermeture de la maternelle des Marmuzots pour la remplacer par un énième programme immobilier. Quel dommage pour les enfants qui ont besoin de structures à taille humaine pour s’éveiller. Quant à la suppression des préfabriqués, il y a 20 ans que le Maire la promet ! Les enfants qui étaient concernés la première fois qu’il en a parlé ont plus de 18 ans aujourd’hui ! En vérité, elle ne sera pas achevée avant… 2031 ! A nos yeux, il faut agir autrement, investir davantage et plus régulièrement dans les écoles qui doivent demeurer des établissements de proximité. Nous continuerons à vous défendre, pour stopper le bétonnage et promouvoir un urbanisme raisonnable, pour renforcer la sécurité, pour que les classes moyennes ne soient plus considérées comme les « vaches à lait », pour accompagner les associations, la culture et le sport.
Comptez sur notre détermination à vous servir !